Arntreal, la startup qui bouscule la mode avec la réalité augmentée

Grâce à la gamification et la réalité augmentée, Arntreal transforme chaque vêtement en expérience interactive.

Arntreal bouscule les codes du prêt-à-porter en intégrant la réalité augmentée et la gamification dans ses vêtements. Fondée en janvier 2023 par Andrea Albrizio, 21 ans, diplômé de l’IFM, la marque propose des pièces connectées qui évoluent avec leur propriétaire via une application mobile. Plus qu’un simple vêtement, chaque tee-shirt ou hoodie devient un support d’interaction et d’engagement pour une communauté en quête d’expériences inédites.

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Arntreal, un modèle hybride entre mode et gaming

Les vêtements Arntreal intègrent une dimension ludique : en réalisant des missions, les clients débloquent des skins et des fonctionnalités en réalité augmentée. Chaque pièce devient un support d’interaction. L’application Arntreal sert d’interface, intégrant classements, récompenses et gains monétaires. Une logique empruntée au gaming, appliquée à la mode.

L’entreprise a levé un million d’euros dès sa première année. Ses bureaux sont installés à la Caserne, incubateur parisien spécialisé dans la mode responsable.

Croissance rapide

Lancement autofinancé avec 10 000 euros. Premier drop en hiver 2023 : tee-shirt à 50 euros, maillot rose fluo à 75 euros, hoodie à 189 euros. Tout vendu en une heure.

Février 2024 : 800 000 euros levés, valorisation à 4 millions de dollars. Participation aux Fashion Weeks de Paris, New York et Shanghai. La marque accélère.

Arntreal mise sur la gamification pour fidéliser. L’application structure l’expérience client : défis, progression, exclusivités. La marque capitalise aussi sur les réseaux sociaux. Andrea Albrizio en est le visage, multipliant les mises en scène sur TikTok et Instagram.

Des événements physiques renforcent l’adhésion : chasse au trésor à Paris, défi tatouage du logo. Une communauté se structure autour de ces interactions.

Arntreal veut pérenniser son modèle. Une gamme plus accessible est prévue : tee-shirts à 40 euros, hoodies à 80 euros. Objectif : consolider le marché français avant l’internationalisation. Une levée de fonds de 6 à 7 millions d’euros est en préparation pour financer le développement technologique.


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