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Rayan Cherki ne joue plus dans la même catégorie. En rejoignant Manchester City à l’été 2025, le milieu offensif a vu son salaire faire un bond d’une dimension. Le changement de championnat a ouvert un nouveau chapitre, bien plus lucratif, dans la trajectoire du joueur formé à Lyon.
Une grille salariale anglaise beaucoup plus généreuse
À Manchester City, la rémunération de Cherki atteint des niveaux qu’il n’avait jamais approchés en Ligue 1. Pour la saison 2025-2026, les estimations situent son salaire annuel autour de 7,8 millions d’euros bruts. D’autres sources, plus généreuses, évoquent jusqu’à 9,1 millions de livres par an – soit environ 10,8 millions d’euros. Ces variations s’expliquent par l’absence d’informations précises sur la part fixe et la part variable du contrat, mais le message est clair : Cherki a franchi un cap.
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Le joueur s’est engagé sur cinq ans, jusqu’en 2030. Dans l’organigramme salarial de City, il reste en-dessous des poids lourds de l’effectif – Haaland ou De Bruyne – mais intègre sans conteste le groupe des joueurs « bien payés » du championnat. Un cran au-dessus de ce qu’il représentait en France.
À Lyon, un salaire multiplié par trois en un an
Avant de traverser la Manche, Cherki évoluait encore à l’Olympique Lyonnais. Son salaire mensuel brut était alors estimé entre 320 000 et 330 000 euros. Soit un revenu annuel juste en-dessous des 4 millions d’euros. Une somme déjà significative dans le paysage salarial de la Ligue 1, mais loin des standards anglais.
Cette rémunération était le fruit d’une revalorisation négociée à l’automne 2024. Le joueur, alors dans la dernière année de son contrat, avait prolongé pour une courte durée – jusqu’en 2026 ou 2027 selon les versions – avec une hausse salariale à la clé. Avant cette prolongation, ses revenus oscillaient entre 210 000 et 300 000 euros bruts mensuels, selon les périodes et les variables contractuelles.
Cette montée en puissance progressive a permis à l’OL d’éviter un départ libre, et de récupérer une indemnité de transfert conséquente en juin 2025.


