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À partir du 1er juillet 2026, Microsoft relèvera fortement (jusqu’à 33% !) le coût de ses suites collaboratives. Cette évolution touchera tous les contrats tandis que l’entreprise met en avant l’ampleur des améliorations apportées à ses services.
Hausse généralisée de Microsoft 365
Microsoft prévoit d’augmenter les tarifs appliqués aux entreprises et aux institutions, avec un bond pouvant atteindre 33% pour les travailleurs de première ligne. L’ensemble des offres — nouvelles souscriptions comme renouvellements — sera concerné. Ces montants n’intègrent pas Microsoft Copilot, facturé en supplément 30 dollars par utilisateur et par mois.
L’entreprise justifie ces nouvelles grilles tarifaires par l’enrichissement continu de ses outils : plus de 1100 fonctionnalités ont été ajoutées en un an à Microsoft 365, SharePoint, Copilot et aux services de sécurité. Selon elle, ces investissements doivent être reflétés dans les prix.
Un marché captif
Cette hausse intervient alors que le débat sur la souveraineté technologique s’intensifie. Microsoft demeure l’un des principaux hyperscalers, aux côtés d’Amazon (AWS) et de Google (CGP), et ses suites bureautiques restent ancrées dans les usages des organisations publiques et privées. Changer de fournisseur représente un défi technique et organisationnel, ce qui renforce la dépendance des utilisateurs. Ce contexte ravive la question des alternatives aux solutions américaines. Pour y répondre, l’Union européenne a adopté le Data Act, qui impose de nouvelles obligations de portabilité, interdit les frais de sortie et exige une interopérabilité minimale entre services de cloud.



Rien de plus normal, les prix sont tres bas pour une sécurité absolue avec azure et les autres produits de Microsoft.
De plus pour les entreprises c’est des charges en supplément certes mais donc des impôts en moins.